La question du salaire

Vous pourriez avoir envie d’aborder la question du salaire au terme de l’entretien proprement dit, une fois que le recruteur vous confirme que vous avez le boulot. Mais est-ce le bon moment ? En fait, si le recruteur ou l’employeur n’évoque pas les prétentions salariales à ce moment-là, n’en faites rien vous-même. S’il n’en parle pas, cela veut dire que ce sera un sujet pour la prochaine fois. De toutes manières, vous devez avoir une idée approximative du salaire pour le poste visé, si ce n’est pas le cas, renseignez-vous. Décidez du salaire minimum que vous accepteriez mais aussi du salaire maximal auquel vous voulez prétendre.

Sur quelles bases négocier le salaire ?

Pour toute négociation de salaire, il faut se baser sur des faits concrets, autrement dit vos réelles compétences pour le poste, ainsi que les salaires proposés pour le même poste ailleurs. Cela nécessite des recherches de votre part pour connaître les salaires du marché et aussi ceux de l’entreprise. Chez vous, préparez des arguments pour défendre le salaire que vous proposez. Dans tous les cas, basez-vous uniquement sur des éléments factuels pour justifier le montant du salaire que vous souhaitez. Mais dans votre intérêt, restez ouvert à toute proposition, par exemple un salaire moindre mais accompagné d’avantages en nature.

Les occasions pour offrir des cadeaux surprises

Les cadeaux qui arrivent à point nommé raffermissent les liens entre les employés et la direction. Cette dernière devrait saisir les occasions de récompenser le personnel. Parmi les dates pendant lesquelles il faudra faire un geste, il y a Noël. C’est encore plus gratifiant si la société peut organiser une réception pendant laquelle les enfants des salariés pourront assister. Les jouets seront les bienvenus. Les employés apprécient également lorsqu’ils reçoivent quelques choses le jour de la fête de mère ou de père. Les collaborateurs aiment bien qu’ils soient considérés par un peu plus que leurs rôles au travail. Avant tout, ce sont des humains, qui ont une vie, une histoire. Pour les récompenses non collectives, la direction peut faire un cadeau pour les mariages, les naissances ainsi que les départs à la retraite.

Les chèques et les coffrets à titre de récompenses

Les récompenses d’ordre financier sont toujours les bienvenus. Elles s’adressent principalement aux employés les plus méritants. L’agent commercial qui a réalisé le plus grand chiffre d’affaires pendant le mois pourra par exemple recevoir un chèque cadeau ou un bon d’achat. Dans certains cas, l’employé fait tous les efforts en vue d’une prime. Certains collaborateurs ont carrément besoin de ses rallonges pour résoudre un problème financier. Pour certains, ces primes permettent de payer quelques choses en particulier. L’employeur peut directement s’en charger à leur place. Une employée qui élève un enfant en bas âge pourra par exemple se donner à fond pour pouvoir s’offrir les services d’une nounou. La direction a la possibilité de lui attribuer un CESU Préfinancé. C’est une rémunération versée à un prestataire, mais le bénéficiaire sera l’employé modèle.

Ce n’est pas toujours une question d’argent

La récompense dépasse généralement le domaine financier. Chez certains employés, une reconnaissance publique fera très bien l’affaire. Il leur faut juste un remerciement sur un affichage ou un discours. Le reste leur sera accessoire. De temps à autre, il y a des employés qui demandent tout simplement à ce que leurs efforts soient reconnus. Les fêtes improvisées leur conviennent, tout comme les tickets de restaurant. Le chef d’entreprise gère toutes sortes de personnalité. Il trouvera parmi son équipe des collaborateurs qui souhaitent suivre une formation, un stage. Tant mieux si ce qu’ils veulent apporte quelques bénéfices sur le plan professionnel. L’essentiel serait d’arriver à surprendre agréablement la personne à qui s’adresse la récompense. En même temps, le geste compte pour tout le personnel. Faire du cas par cas sera plus économique, mais il faudra faire preuve d’impartialité totale.